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Les pensées de Julie

Aventures de Julie

Rencontre du troisième type

Rencontre du troisième type

Chapitre 1


Dès que mon regard a croisé le sien, j'ai senti un trouble profond, un frisson qui descend de la nuque au coccyx, une contraction du bas ventre, la bouche sèche et paradoxalement une humidité qui perle entre mes lèvres, celles les plus intimes.  
 
Ses yeux bleus presque transparents tranchent avec le brun presque noir de ses cheveux mi long, une bouche aux lèvres fines, un nez droit aux narines serrées, un visage angélique, presque enfantin et absolument imberbe ce qui amplifie le trouble qu'il irradie.  
Il porte un blouson de moto et un jean qui moule une superbe paire de fesses, ses bottes western noires le grandissent de quelques centimètres. Il est mince, de taille moyenne, assez carré d'épaules, il semble sportif.  
 
Si je l'ai remarqué, lui n'est pas en reste non plus et il ses yeux me parcourent de haut en bas et de bas en haut. Il faut dire qu'il ne pouvait pas me rater. Perchée sur des talons de 10 cm, je porte mon tailleur beige des grandes occasions, celui des grands rendez-vous, des cocktails et des réunions de direction. Il est complété par un chemisier blanc très léger que je porte sans soutien-gorge, mais ça, il ne peut pas le deviner, ma veste étant boutonnée. Mes bas top noirs complètent le tableau leur lisière de dentelles est presque dévoilée par ma mini-jupe. En effet, la jupe de ce tailleur est assez courte et comme je ne porte pas de culotte, je dois faire constamment attention et surveiller mes postures; cet inconvénient vaut la peine quand je sens l'air frais qui caresse mon bas ventre quand je marche dehors. Je répugne à porter des sous-vêtements, préférant la liberté de mes mouvements, du frottement du tissu sur la pointe de mes seins

 

Chapitre 2

L'échange de regards, est suivi d'un échange de paroles, des banalités, des politesses, rien de bien sérieux.
Sa voix est douce, légère comme un souffle.
Il me propose un verre à la terrasse du café tout proche, généralement, je ne suis pas très hardie pour accepter l'invitation d'un inconnu, mais là, impossible de résister à son charme presque surnaturel.

En quelques pas nous nous trouvons assis l'un en face de l'autre devant des cocas. Les banalités cèdent la place à des thèmes plus personnels, boulot, régions. Il est dans la pub et il est originaire de Nice, mais il n'a pas d'accent particulier.

Malgré le temps doux, il a gardé son blouson, moi, j'ai déboutonné ma veste qui laisse juste apparaître le sillon de mes seins, sous le chemisier échancré et dont 2 boutons sont défaits.

Dans la conversation qui reste somme toute assez banale, je lui confie que j'habite à deux pas, juste un pâté de maison plus loin. Evidemment, au bout d'un moment, je ne résiste pas de lui proposer de venir visiter mon petit nid et boire un autre verre, plus corsé.

J'habite un de ces vieux immeubles, très bourgeois, mais sans ascenseur et au cinquième étage en plus !

L'escalier de bois est étroit, en colimaçon, ce qui m'oblige à passer devant et lui derrière. Trois ou Quatre marches plus bas, il a pour horizon mes jambes gainées de noir, la jupe dévoilant le haut des bas alternativement, au rythme des marches.
Arrivés au cinquième, je vois dans son regard comme une excitation dont je soupçonne l'origine.

Je pousse ma porte et nous entrons dans l'unique pièce de mon appartement. Pour les meubles, je n'ai pas fait beaucoup d'efforts, une table, une commode et un canapé lit qui abrite mes rêves. Ce canapé, je l'ai tout de même choisi confortable, car j'aime le douillet.
J'ai aussi une espèce de malle qui referme quelques bouteilles que viennent vider régulièrement mes amis.

Nous portons notre choix sur une bouteille de bourbon qui, miraculeusement, n'est pas vide.

Machinalement, j'enlève ma veste et la pose sur le dossier de la chaise (j'en ai deux), sans trop réfléchir que je ne suis pas seule et que mon chemisier est légèrement transparent.
Mais peut être est ce inconsciemment volontaire.

J'invite mon bel adonis à se défaire de son blouson, il a un instant d'hésitation et finalement s'exécute sur mon insistance.

Son blouson glisse de ses épaules

 

 

Chapitre 3

Ses épaules sont nues, le blouson dévoile un débardeur blanc qui moule sa musculature fine et

… …. deux protubérances …

une petite poitrine dont les tétons semblent vouloir percer le fin tissu.

Il/elle dépose son blouson sur le dossier d'une chaise.
 
- Surprise ? Déçue peut être  

- Surprise, oui, déçue, je ne sais pas encore !
 
- Je me prénomme Clara, je crois que tu as fait une méprise, mais je boirais bien un verre quand même.

Nous prenons place sur mon petit canapé et je sers deux verres de bourbon.  Je suis troublée par son regard si profond.
Ma main se tend vers un verre et elle rencontre la sienne qui avait visé la même cible. Une seconde, nos mains se frôlent et comme un courant électrique irradie mon bras et parcours tout mon corps.

- Tu es jolie me dit-elle en me tendant le verre.

J'aime sa voix un peu grave pour une femme mais si douce pour un homme. Son regard est posé sur ma poitrine, légèrement dévoilée par mon chemisier entrouvert et transparent.

La sienne est menue et n'a jamais dû voir l'ombre d'un soutien-gorge, d'ailleurs je n'en porte que très rarement moi-même.

Sa main se pose sur ma cuisse et comme je n'ai aucun mouvement de recul, elle y reste, frôlant le nylon de mon bas. Ma jupe est un peu remontée lorsque je me suis assise et la dentelle bordant mes bas est totalement découverte. Sa main, imperceptiblement s'aventure jusqu'à cette lisière et s'y arrête un instant, jaugeant ma réaction.

 

 

 

 

Chapitre 4

Je ne bronche pas, en fait je suis tétanisée par cette surprise et je suis incapable de la moindre réaction ni aucun mouvement de recul.

Cette main qui me frôle lance des décharges électriques dans ma colonne vertébrale.

J'ose un mouvement vers sa poitrine, comme si je devais y toucher pour y croire. Ses tétons pointent à travers le fin tissu. Elle non plus n'a aucun mouvement de recul et sa main s'aventure plus avant sous ma jupe, franchissant la lisière pour parcourir le haut de ma cuisse.

Enfin, ma main atteint son sein gauche, celui du cœur. C'est à peine si son relief est perceptible sur son torse. Un bonnet A.

Je m'enhardis, je veux en découvrir plus et ma main descend le long de son ventre pour se glisser sous son débardeur et remonter vers l'objet de ma curiosité.

Mes doigts découvrent une peau fine et douce, je sens le relief du mamelon, petit apparemment, puis un téton turgescent gonflé d'excitation.

D'un mouvement lent, comme hésitant, je remonte le bas de son débardeur jusqu'à découvrir ces joyaux.

Clara n'a pas perdu son temps pendant mon exploration et elle a continué la sienne plus avant et sa main a atteint mon entrejambes et elle constate avec surprise que nul tissu ne le protège. Ses doigts s'empreignent instantanément de mon humidité. Elle retire sa main, ce qui me surprend, mais c'est pour la porter à son nez, humant le fumet de mes sécrétions, et à sa bouche, comme pour me gouter avant de me dévorer.

Tout ceci s'est passé dans un silence profond qu'elle rompt :

- Ton nectar vaut tous les alcools pour me faire tourner la tête.

Ses petits seins ont bien ronds, bien formés, ses mamelon sont très bruns en accord avec sa chevelure et sa peau naturellement hâlée. Ma main les parcourt librement maintenant, et ses tétons réagissent au moindre frôlement.

Ma jupe est maintenant largement retroussée au-dessus de mes bas découvrant haut mes cuisses. Clara s'attaque à déboutonner mon chemisier et moi, je la débarrasse de ton débardeur. Nous sommes bientôt toutes deux torse nu. Mais je ne m'arrête pas là et je m'attaque à son ceinturon pour libérer son jean, je dégrafe un à un les boutons et je descends ce pantalon qui s'oppose à mieux la connaître. Elle m'aide en levant les fesses et je découvre un joli string en dentelle noire, je me serait attendu plutôt à une culotte de coton qui irait mieux à son style androgyne. Elle a des cuisses longues et fines

Ce n'est pas la première fois que je caresse une fille, mais c'était au lycée, à travers les vêtements, et limité à quelques baisers appuyés et quelques attouchement sous la jupe. Mais là, c'est la première fois que je déshabille une fille, même si son allure la rapprochait d'un garçon.

 

 

 

Chapitre 5

Je glisse mes doigts sous l'élastique de son string pour le faire glisser sur ses cuisses. Son pubis est totalement glabre, épilé avec soin alors que moi, j'ai conservé un petit triangle en forme de flèche dirigé comme pour indiquer le chemin vers l'entrée.

Ma jupe est retroussée maintenant sur mes hanches et je m'en débarrasse pour ne pas la froisser plus.

Nous sommes toutes deux intégralement nues, je n'ai conservé que mes bas et mes chaussures, pressée d'aller plus avant. D'ailleurs, j'aime garder ces accessoires de séduction. Mes talons hauts renforcent ma cambrure et ma poitrine qui ressort avantageusement et souligne le galbe de mes jambes lorsque je me déplace, nue.

Nous sommes toutes deux debout, poitrine contre poitrine, pubis contre pubis, nos bouches soudées et nos langues nouées en un long baiser sensuel, le baiser le plus sensuel qu'une fille m'ait donné, il est loin le temps des bisous du lycée ! Je ne suis même pas certaine qu'un homme m'ait embrassé avec cette fougue, cette ardeur féline dont seule une femme est capable.

Mes mains enserrent ses fesses. Elles sont d'une fermeté étonnante, comme le reste de son corps d'ailleurs, elle est fine, musclée, ses seins sont posés sur des pectoraux finement dessinés; Elle doit faire de la musculation, mais elle n'a pas la silhouette hommasse des body buildeuses, mais une musculature fine et délicate.

Je quitte presqu'à regret sa bouche pour descendre vers son cou que je feins de mordre, telle Vampirella, puis doucement, ma bouche parcours son torse et trouve un téton que je me mets à sucer goulûment. Je sens ma partenaire frissonner sous cette tétée.

Laissant mes mains sur ses fesses, ma bouche descend sur son ventre, laissant le nombril, pour se précipiter vers sa vulve d’où suinte un filet de cyprine.

C'est la première fois que je goute à un sexe féminin, même s'il m'est arrivé de porter mes doigts à ma bouche pendant mes plaisirs solitaires. Je lèche ses sécrétions jusqu'à complète disparition, ma langue trouve naturellement son chemin entre ses lèvres à peine entrouvertes. Elle a un sexe de petite fille, serré, nu.

Je la pénètre de ma langue pour trouver ton clitoris que je m'efforce se faire se redresser.

Je finis par l'entrainer sur le canapé, où elle  s'étend, alanguie, jambes largement ouvertes, offerte, impudique.

 

 

 

Chapitre 6

Je me place à califourchon sur sa bouche et plonge la mienne sur son sexe offert. Je me délecte de sa mouille, ma langue la fouille au plus profond et je sens la sienne pénétrer mon intimité.
J'écartèle du bout de mes doigts ses lèvres afin de la pénétrer plus profond. J'ai la langue qui me fait mal à force de la tendre.
Sous ma langue, je sens le renflement de son bouton de rose. Je le titille et je le sens se réveiller, il se redresse, s’enfle fièrement ce petit bonhomme. Je le prends en bouche, le suce, le lèche, le cajole, le pince entre mes lèvres, j’ai envie de le mordiller, mais je crains de faire de le blesser. Je sens Clara réagir sous mes baisers, elle vibre, se trémousse, son bassin se soulève, ses cuisses s'écartèlent.
Mes doigts prennent le relai, je fais rouler son clito entre mon pouce et mon index, puis j'enfonce celui-ci au plus profond de son intimité, un doigt ne suffisant pas, j'y plonge un deuxième puis un troisième, écartelant sa vulve.

Elle n'est pas en reste, je sens ses doigts fouiller mon ventre, mon plaisir monte inexorablement, des ondes parcourent mon corps et je sens aussi le siens agité de spasmes régulier.

Nous nous unissons toutes deux dans un orgasme, qui semble ne plus finir, un orgasme comme jamais aucun homme ne m'a donné. Une jouissance que je n'imaginais pas pouvoir être donnée par une femme.

Les esprits revenus, nous nous enlaçons tendrement le temps que la tension redescende, nos bouches se rencontrent encore, nos mains parcourent nos corps en d'interminables caresses.

Puis apaisées, nous nous asseyons sagement côte à côte pour terminer nos verres que nous avions à peine entamés.

Lorsqu'elle commence à se rhabiller, je lui subtilise son string. Je veux conserver un souvenir de son odeur féline, du suc qui l'a imprégnée.

Elle est rhabillée, prête à repartir, moi je suis restée nue et je la raccompagne jusque sur le palier, indifférente au risque d'y être surprise nue et je l'enlace tendrement, l'embrasse fougueusement si la voisine sort, elle va s'évanouir !

- Je reviendrai me glisse t'elle, je t'emmènerai faire un tour sur ma moto.

Elle s'éloigne dans l'escalier, je retarde l'instant où elle va disparaitre en descendant quelques marches, toujours nue, seulement vêtue de mes bas un peu tirebouchonnés et mes chaussures à hauts talons.

Et ce qui devait arriver arriva, Stéphanie, ma voisine sort de chez elle et me croise dans l'escalier. Je m'attends à une remarque désobligeante, mais non, elle m'adresse un sourire complice et un regard brillant, ses lèvres d'entrouvrent de façon gourmande et elle tarde à articuler un "Bonjour Julie", il fait chaud, je vois que tu t'es mise à l'aise".

Je lui souris et sans mot dire, je me précipite chez moi, moins pour me cacher que pour aller à la fenêtre voir disparaître Clara. Je reste un instant devant ma fenêtre ouverte, espérant la voir réapparaitre.

Il faudra que j'invite Stéphanie à boire un verre un de ces soirs.

Je vais prendre une longue douche pour me remettre de mes émotions. Une douche sensuelle, j'imagine encore les mains de mon amante parcourant mon corps, fouillant mon sexe. Un nouvel orgasme me secoue, mais il n'a pas la même intensité, la même profondeur.

 

 

LA MOTO

1 – Clara


Clara a tenu parole, elle revient me voir pour une promenade à moto sur les petites routes de campagne si nombreuses autour de Paris pour qui veut bien les trouver.

Je l'attends  d'un instant à l'autre; Il fait très beau, j'ai mis une petite robe dos nu évasée et courte pour profiter du soleil. Comme à mon habitude, je suis nue dessous.

On gratte à la porte et je me précipite pour ouvrir.

Ma belle est plus féminine que lors de ma première rencontre. Elle a toujours le même blouson de cuir un peu élimé, mais elle a troqué son jean par une mini-jupe en cuir aussi et des cuissardes qui montent à mi cuisses.
La jupe est vraiment très courte, elle couvre à peine le superbe arrondi des fesses; Un laçage sur le côté ajoute une touche de sexy, comme si ça devait être nécessaire. Sous son blouson ouvert, elle porte un mini pull très moulant qui laisse dénudé son ventre plat et qui épouse les formes discrètes de sa petite poitrine.
Là, pas d'erreur possible, c'est bien une fille.

Aussi tôt la porte ouverte, nos bouches se retrouvent et nos langues se nouent

La peau nue de ses cuisses tente ma main qui s'y aventure aussi tôt. Je caresse sa cuisse, remonte doucement j'arrive immédiatement à la naissance de la fesse tellement sa jupe est courte. Sans prendre la peine de refermer la porte, je la retrousse et trouve sa peau nue. Je descends lentement mes lèvres jusqu'à son sexe imberbe, lisse et si doux.

 

 

 

2 - L’autoroute

D'un geste, elle m'arrête :

« Ne brule pas les étapes, nous avons toute la journée. Viens, j'ai un casque pour toi, mets une veste, tu pourrais avoir froid. »
Je passe un blouson coupe-vent et matelassé. Pour compléter ma tenue "moto", je chausse une paire de bottes hautes, bien que moins spectaculaires que les cuissardes de Clara.

Nous descendons les escaliers quatre à quatre, sur le trottoir trône une magnifique Kawasaki carénée de rouge.

Elle enfourche son bolide, dans le mouvement, sa jupe se retrousse et elle pose ses fesses nues à même le cuir de la selle. Son sexe fait corps avec la machine, elle ne pilote pas, elle fait l'amour avec elle.
Je l'imite et je m'assois en retroussant ma jupe pour sentir le contact du cuir souple et froid.
La selle est petite pour deux personnes, même pour des petites fesses, alors nous sommes serrées l’une contre l’autre très intimement, ce qui n’est pas pour me déplaire.
« Tiens-moi bien en entourant tes bras autour de ma taille. »

Je m'exécute avec joie, inutile de me prier,  et me serre contre son dos, nous ne formons plus qu'un seul corps, soudées.

Elle démarre sa machine et nous décollons dans un hurlement de moteur. L'accélération est foudroyante, je resserre encore mon étreinte de peur de me faire éjecter. Et je serre aussi les fesses, collant au plus près du cuir de la selle.

Nous sortons de la ville, nous prenons un petit bout d'autoroute à une vitesse que je n'imaginais pas possible, son engin doit dépasser les 200 km/h. Le vent s'engouffre sous ma robe, me glace au plus profond de mon intimité, je vais avoir le minou givré !

Après cette courte pointe de vitesse, nous ressortons de l'autoroute pour suivre une petite départementale qui serpente à travers champs. Nous sommes en pleine campagne à quelques minutes de Paris.

La vitesse est plus modérée, je relâche un peu mon étreinte, ma main gauche descend un peu sous son blouson, je caresse doucement le ventre de ma pilote. Ma main gauche descend jusqu'à la selle, mes doigts s'insinuent sous sa jupe, en progressant doucement, mes doigts rencontrent sa vulve nue et humide. J'y enfonce mon majeur doucement, elle se raidi, se positionne sur la selle pour faciliter mon geste. Elle ralentit l’allure pour mieux profiter en toute sécurité de ma caresse.

 

 

3 - Le bosquet

Mon doigt est maintenant bien engagé et s'agite au rythme des virages. Très rapidement, je sens son ventre secoué de spasmes. Elle jouit doucement, sans un murmure.

Je me demande s'il ne lui arrive pas de jouir seule sur sa moto, excitée par les vibrations directement appliquées sur son entrejambe.

Nous roulons de plus en plus doucement et nous engageons dans un petit chemin de terre qui conduit à un petit bosquet. Le moteur s'arrête le calme est complet. Nous descendons de la machine, enlevons nos casques avec précipitation pour nous embrasser avec fièvre.

La selle porte les traces humides et poisseuses de notre voyage. Du bout des doigts, Clara étale nos sécrétions en massant le cuir de la selle qui brille sous ce traitement. « C’est très bon pour le cuir, ça le nourrit » annonce-t-elle.

Nous arrachons nos blousons, je retrousse son pull pour embrasser ses petits seins mignons, ses tétons se dressent fièrement sous mes caresses. Nos nous écroulons dans l'herbe. Nous roulons comme des gamines, les liens de ma robe se dénouent et libèrent ma poitrine qui est aussitôt assaillie par les lèvres gourmandes de Clara.

Ma main effleure le haut de sa cuisse, remonte rapidement au creux de son intimité et j’entreprends de masser sa vulve humide, je m’attarde longuement sur son bouton de rose, elle se raidit, se cambre, s’offrant sans pudeur. Mon index pénètre son vagin en douceur, bientôt rejoint par l’annulaire. Ce sont ces deux doigts que j’utilise généralement pour mon propre plaisir.

Ma robe est tombée à mes pieds et je me retrouve seulement vêtue de mes bottes. Clara fait passer son pull par-dessus tête afin de serrer sa poitrine contre la mienne.

Sa main rejoint mon entrejambe m’inondant d’une vague de plaisir, je suis tellement excitée par notre escapade amoureuse que je jouis immédiatement dès que son doigt me pénètre. Elle m’accompagne dans un orgasme commun, violent qui n’en finit pas de rebondir dans des sursauts de plaisir intense qui semblent durer l’éternité.

Nous restons longuement étreintes, serrées l’une contre l’autre, l’une dans l’autre, je sens la chaleur de son corps enfiévré par le plaisir, l’humidité de la sueur qui perle de tous les pores de sa peau qui est si douce.
Je ne sais combien de temps nous restons ainsi enlacées, ne formant qu’un seul corps. Elle se relève soudain et annonce :

« Viens, on va s’amuser. Suis-moi. »

 

4 - Le village

Je suis encore nue assisse dans l’herbe, elle ramasse nos affaires, se rapproche de la moto, et les glisse dans un coffre sous la selle.

Elle me tend mon casque et remet le sien, je l’imite, intriguée.
Elle enfourche son bolide, et me dit : « Viens, monte derrière, on va faire une petite ballade ».

Je suis interloquée par cette proposition et excitée à la fois. Elle est là, seulement vêtue de sa jupe de cuir qui est remontée encore plus haut que tout à l’heure, dévoilant ses fesses et laissant deviner la naissance de son sexe et de ses cuissardes.

Moi, je suis entièrement nue, j’enfourche le bolide, ma vulve trempée et suintante glisse sur le cuir, mes fesses se posent sur la selle, j’entoure la taille de ma pilote de mes bras, mes mains remontent sur ses seins, enserrant ses petits globes. Puis elles redescendent vers la jupe que je soulève pour être directement en contact de sa peau.

La moto démarre, nous parcourons très lentement ce petit chemin de terre à travers bois, puis un autre chemin de traverse. Cette expérience est terriblement excitante, jusque là, nous n’avons croisé personne, l’endroit est désert.

Mais voilà que le chemin sors de la forêt et débouche sur une petite route goudronnée. Je pense que Clara va faire demi-tour, mais non, elle enfile la petite route, accélérant légèrement l’allure. Nous parcourons ainsi quelques kilomètres et soudain, nous croisons une voiture, le conducteur s’est retourné sur nous, éberlué, il a stoppé un peu plus loin, surement pétrifié de stupeur.
Nous atteignons un petit hameau, quelques villageois sont dehors, ils tournent tous la tête sur notre passage.  Les discutions seront animées au bar du village !

Enfin au bout de 2 kilomètres après la sortie du village, Clara tourne sur un autre chemin qui serpente à travers champs pour aboutir à une petite rivière.

 

5 - La rivière

Elle stoppe la machine le long d’un petit pré et nous descendons au bord de l’eau.

« Je viens souvent me balader par ici, mais c’est la première fois que j’ose traverser le village nue, d’habitude, je ne parcoure ainsi que le chemin forestier ». En disant ces paroles, elle éclate de rire et moi, je frémis encore de peur.

Clara retire ses bottes puis sa jupe et saute dans l’eau fraiche du ruisseau. J’en fait autant, nous avons de l’eau à mi cuisses, nous nous éclaboussons en riant comme des folles. Mais folles nous sommes en effet.

J’enlace mon amante, je serre ma poitrine sur la sienne, je l’embrasse goulûment, longuement, à en perdre le souffle.

Je titube, nous tombons à l’eau mais nous ne relâchons ni notre étreinte ni notre baiser qui se continue sous l’eau claire. Avant de suffoquer nous nous redressons, assises, et nous prolongeons notre baiser à en perdre haleine. L’eau fraiche du ruisseau peine à éteindre le feu qui dévore mon ventre. Je prends la main de Clara et la guide vers mon entrecuisse, pendant que la mienne fait de même. Une nouvelle fois, je jouis immédiatement dès que ses doigts pénètrent entre mes lèvres.

Nous sortons de l’eau et nous allongeons, épuisées, heureuses, le soleil nous sèche, caressées par ses rayons, il fait chaud, nous flottons dans une béatitude apaisante.

Un bruit inattendu nous sort de notre torpeur.

 

 

6 – Visiteurs

Attirée sans doute par notre véhicule garé au bord du chemin, une autre moto s’est arrêtée dans le chemin et un couple en descend. De leur position, ils ne peuvent pas encore nous voir, des hautes herbes nous protègent et nous sommes couchées. Mais le souci est que nos vêtements sont restés dans le coffre de la moto et nous n’avons que nos casques et nos bottes, ce qui est bien peu pour nous rhabiller. Clara a un petit avantage, avec sa jupe, mais c’est un bien frêle rempart ! D’ailleurs, elle ne songe même pas à la passer.

Nos visiteurs descendent de leur machine, ils ôtent leur casque, le pilote est un beau brun, athlétique, mais je suis stupéfaite par la beauté de sa passagère. Lorsqu’elle ôte son casque, une longue chevelure blonde et bouclée s’en échappe en cascade d’or sur ses épaules et jusqu’au milieu de son dos.

Tous deux portent une combinaison de cuir dont ils s’extraient tour à tour. Lui porte un jean et une chemisette bleu pâle, elle un débardeur crème et un short très court. Elle a des jambes longues, parfaites.

Ils commencent à descendre vers la rivière. Maintenant, ils peuvent nous apercevoir, mais leur regard ne s’est pas encore dirigé vers nous, ils sont capables de nous marcher dessus sans nous voir.

C’est l’homme qui le premier pose son regard vers nous, il fait signe à sa compagne, ils s’approchent et à quelques mètres, se rendent compte de notre nudité complète.

Ils semblent gênés un instant, troublés par notre situation, mais Clara brise la glace d’un sonore « bonjour ». Elle s’est redressée, assise, pas gênée le moins du monde.
« L’eau est bonne et fraiche, vous devriez en profiter ».

Je m’assois à mon tour, nos visiteurs s’approchent de nous, souriants, rassurés par le message de bienvenue de Clara.

Ils se présentent, elle, s’appelle Elodie, lui Christophe, ils recherchaient justement un peu de fraicheur et notre moto, visible de la route les a incités à venir jusqu’ici.

 

7 - Baignade

Elodie passe son débardeur par-dessus tête, révélant un magnifique soutien-gorge de dentelle rouge, son short glisse le long de ses jambes interminables, elle porte un string assorti, ses sous-vêtements sont très raffinés, surement d’une marque prestigieuse.

Christophe n’est pas en reste et se retrouve rapidement en shorty. C’est lui qui plonge le premier dans l’eau fraiche. Elle, semble hésiter, je comprends rapidement qu’elle n’ose pas mouiller sa lingerie délicate. Pour montrer l’exemple, je me lève, exposant ma nudité, je lui tends la main « viens, n’hésite pas, elle est bonne, ça te fera le plus grand bien après la chaleur de la route ».

Elle me sourit, elle fait glisser doucement les bretelles sur ses épaules et détache les agrafes. Son soutien-gorge libère une poitrine magnifique, lourde et ferme, d’une forme parfaite, ornée d’aréoles roses pâles. Elle fait ensuite glisser son string à ses pieds, dévoilant une fine toison blonde, un duvet soyeux, élégamment taillé pour laisser imberbes des lèvres à peine entrouvertes.



Clara nous rejoint et nous nous précipitons dans l’eau en riant. Elodie rejoint Chis qui l’enlace amoureusement. J’en fais de même avec Clara qui prend ma bouche avec gourmandise. Elodie et Chris, sont un instant surpris, mais ils nous imitent sans plus de formalités.

De retour sur la berge, nous nous étendons sur l’herbe pour nous sécher au soleil. Christophe a enlacé Elodie qui lui rend ses baisers. Elle est toujours nue, ses cheveux d’or encadrent son visage, elle a quelque chose de magique dans le regard.

De mon, côte, j’ai entrepris de caresser les seins de Clara, elle aime beaucoup cette attention. Elle prend ma bouche de ses lèvres et sa langue vient rencontrer la mienne et elles se nouent en un long baiser.

Notre attitude inspire Chris, sa main enserre un sein d’Elodie, le globe tient à peine dans sa main pourtant grande. Il la caresse longuement puis sa main descend lentement vers son ventre, doucement en une longue caresse.

Il caresse longuement la soyeuse toison d’Elodie, puis il caresse amoureusement ses lèvres entrouvertes. Elodie gémit dans un souffle a peine perceptible, l’envie illumine ses yeux bleus.

Nous les regardons effrontément, curieuses de leur plaisir.

 

8 - Amour

Le boxer de Christophe est maintenant gonflé de désir, Elodie glisse ses mains sur ses hanches et libère l’objet convoité, qu’elle prend immédiatement en bouche, sans retenue  ni pudeur, elle semble ignorer notre regard. Sans être exceptionnel, le membre de Christophe est de taille respectable, dressé et dur.

Elodie s’applique consciencieusement à sa tâche, Christophe, lui rend la pareille d’un doigt expert. C’est Elodie qui jouit la première, lâchant sa proie, son plaisir lui arrache un cri strident qui nous surprend. Heureusement que l’endroit est désert.

Clara n’a rien manqué du spectacle et inspirée, elle se place à califourchon au-dessus de moi, m’offrant son sexe à ma bouche et sa bouche vient se plaquer sur ma vulve.

Les acteurs deviennent spectateur, Deux paires d’yeux observe nos ébats, c’est nouveau pour moi, jamais je n’avais fait l’amour devant d’autres personnes, étrangement, je n’éprouve aucune gêne, mes inhibitions ont totalement disparu, ce qui était tabou devient plaisir. En effet, cette situation au lieu de me gêner m’excite terriblement et décuple mon plaisir.

 Clara contrôle la situation, dosant ses caresses de façon à ce que je ne parte pas trop rapidement, moi, je m’applique de façon à l’amener au plaisir.
Nous jouissons en cœur, je sens les ongles de Clara s’enfoncer dans mes fesses, elle jouit silencieusement, mais profondément. Moi, je pousse un petit cri, mais plus discret que celui d’Elodie.

Nos deux couples restent un long moment enlacés, nus allongé dans l’herbe, baignant dans une torpeur de bonheur, les rayons du soleil commencent à faiblir, nous entourant d’une tiédeur apaisante. Ce fut une belle après-midi.
Après quelques instants de torpeurs, nous nous asseyons en rond pour discuter, faire enfin connaissance.
Nos amis ne sont pas mariés mais ensemble depuis 2 ans, lui, vendeur immobilier, elle comptable. Ils habitent aussi Paris, finalement, nous sommes presque voisins.la température commence à fraichir et nous décidons de rentrer. Elodie nous propose de venir boire un verre chez eux et bien sûr nous acceptons la proposition de nos nouveaux amis. Nous remontons, toujours nues jusqu’au chemin.

Je retrouve ma robe, Clara sa jupe et son blouson, elle ne remet même pas son pull qui reste dans le coffre de la moto.

Christophe et Elodie ont revêtu leurs combinaisons de cuir qui sont assorties, même couleur, et mêmes décors, on les sens très liés, très amoureux.

 

9 – Retour à paris

Nous reprenons la route, sagement habillées maintenant, enfin si notre tenue peut être qualifiée de sage, nos sexes nus toujours intimement en harmonie avec le cuir de la selle, j’ai remonté mes mains sous son blouson, au contact de son ventre nu et doux. De temps en temps, une main s’aventure plus bas, descendant sa jupe pour atteindre son trésor et le caresser doucement, j’aurais aimé pouvoir la lui ôter, mais nous faisons le trajet du retour sans aucun arrêt, de peur de perdre nos guides car nous ne connaissons pas leur adresse.

Nous suivons nos amis jusque chez eux. Ils habitent un immeuble bourgeois très chic, on voit que Christophe est du métier, il a du faire une affaire.

Clara passe devant moi dans l’escalier, et je prends quelques marches de retard, ce qui me permet d’admirer ses fesses nues sous sa mini-jupe, je ne me lasserai jamais de ce spectacle. Spectacle de courte durée, car ils habitent au 2ème étage.

Nous sommes admiratives devant le gout de la décoration de nos hôtes, le salon est meublé tout de blanc avec un grand canapé de cuir et deux fauteuils assortis. Une table basse en verre au milieu, un épais tapis de laine au sol. C’est simple et de bon gout. A côté de mon studio toujours en désordre, c’est le jour et la nuit !

Nos hôtes s’absentent un instant pour se changer, ils reviennent après une douche rapide, elle porte un déshabillé blanc presque transparent qui laisse apparaître un string de dentelle blanche et on devine ses seins nus. Une ceinture dorée nouée le ferme, aucun bouton ne lui vient en renfort, à chacun de ses pas, ses jambes fuselées sont entièrement dévoilées. Lui porte un ensemble veste pantalon d’intérieur rouge, seule tache de couleur dans cet univers blanc. Ils sont d’une élégance rare pour des adeptes de moto.

10 – La douche

Ils nous proposent une douche ce que nous acceptons volontiers vu que la rivière pourtant très propre nous a laissé une fine odeur pas très agréable.
Accompagnée de Clara, je suis Elodie qui nous conduit dans la salle de bain. La pièce est très grande toute revêtue de marbre rose, une grande baignoire trône au milieu. Je fais tomber ma robe à mes pieds, Clara ôte son blouson et sa jupe, nous sommes nues en une fraction de seconde, Elodie nous regarde d’un œil gourmand puis quitte la pièce,.

Je saute la première dans la baignoire et je fais couler une douche bien chaude, Clara me rejoint une bouteille de shampoing à la main. Elle entreprend de me couvrir d’une mousse onctueuse et parfumée et je lui rends la pareille, je la retourne, frotte énergiquement dans le dos, passe doucement mes mains sur son ventre, enserre ses seins de mes deux mains, me collant à son dos, je me frotte contre elle. Mes mains redescendent sur son ventre, trouvent la fente qui orne son entrejambe et je m’attarde à bien frotter ses lèvres imberbes. Mon doigt trouve à s’insinuer dans cette voie, trouve son bouton de rose que je masse avec ardeur Clara se cambre, se serre contre moi, glousse de plaisir puis saisie d’un spasme explose dans un orgasme puissant. J’actionne la douche et entreprends de nous asperger d’eau chaude. Clara s’agenouille devant moi sous la pluie fine et ses lèvres baisent mon bas ventre, sa langue me pénètre et en retour trouve mon clito, le lèche, le suce, le pince du bout des lèvres, tête comme un bébé. J’avance mon bassin pour mieux m’offrir à sa bouche, pour mieux m’ouvrir à ses caresses et j’explose dans sa bouche.

Nous nous séchons dans les grands draps de bain qu’Elodie a mis à notre disposition, ils sont doux, épais, mousseux, nous nous frottons mutuellement et nous finissons cette toilette dans un profond baiser.

Elodie frappe à la porte, entre et nous trouve nues enlacées, les bouches soudées. Elle apporte le pull que Clara avait laissé au salon, lui ramasse sa jupe abandonnée au sol et me tend ma robe, quelque peu défraichie. Nous nous rhabillons et suivons Elodie au salon où elle a dressé la table pour un apéritif copieux.

Au salon, Elodie nous fait prendre place chacune dans un fauteuil pendant qu’elle prend place sur le grand canapé avec Christophe et de nouveau, le contact du cuir me donne des frissons en pensant aux vibrations si agréables de la moto. Clara toujours aussi impudique se tient assise en tailleur ce qui expose son sexe à la vue de tout le monde.


Christophe se dirige vers la cuisine, il va nous préparer des cocktails et quelques amuse-bouche, nous en avons besoin pour reprendre quelques forces. Clara se lève et décide d’aller lui prêter main-forte.

 

11 - En cuisine

Il s’est passé plusieurs minutes depuis que Christophe et Clara sont partis au ravitaillement.
« Viens, on va voir où en sont nos punchs » me glisse Elodie avec un sourire entendu.

A notre entrée dans la cuisine, nous voyons Clara assise sur la table, jupe relevée sur la taille, jambes largement écartées, la tête rejetée en arrière, Christophe, lui, a le pantalon baissé et s’agite en rythme entre ses cuisses.

Elodie ne semble pas s’en soucier, elle se tourne vers moi, laisse glisser son déshabillé de ses épaules, j’en fais de même avec ma robe qui chute  à terre et nous nous retrouvons toute deux nues au milieu de la cuisine. Nous nous enlaçons et nos bouches se fondent en un baiser profond. Je pousse Elodie de façon à l’asseoir sur un meuble, je m’agenouille devant elle, je fais glisser son string rouge jusqu’au bas de ses jambes et je plonge ma tête entre ses cuisses largement écartées. J’avais envie de gouter ce minou blond si doux dès que je l’ai vu au bord de la rivière.

Ma langue se fraye un chemin entre ses lèvres, je trouve son bouton de rose gorgé d’envie, je le tête, le pince entre mes lèvres, le fait rouler sur ma langue, avec une telle application qu’Elodie ne tarde pas à hurler son plaisir. Son miel coule abondamment et je m’en régale avec gourmandise.

A l’unisson, Clara jouit aussi, moins bruyamment toutefois. 

Christophe termine enfin ses cocktails et nous rejoignons le salon bien plus confortable.

 

12 - Deuxième verre

Clara abandonne pull et jupe afin d’être à égalité avec moi et Elodie, Christophe a remis son pantalon mais a posé la veste, exposant à nos regards gourmands sa fine musculature.
Clara reprend place dans son fauteuil, moi dans le mien et nos hôtes sur le canapé. Nous reprenons nos verres et nous gavons de petits gâteaux, heureusement que nous nous dépensons sainement !

Mon verre à peine vidé, je me lève et me dirige vers le fauteuil de mon amante. Clara écarte largement les cuisses pour m’accueillir, elle est d’une impudeur effrontée. Je plonge ma tête entre ses jambes et entreprends à nouveau de boire la cyprine qui suinte entre ses lèvres. Elodie s’approche et me caresse tendrement la poitrine, diffusant une douce onde de plaisir. Christophe estimant qu’il a suffisamment repris de forces, s’approche dans mon dos et me pénètre d’un trait. Son membre me remplit, surprise une fraction de seconde, je l’accueille volontiers, continuant à dévorer la vulve de ma chérie.

 

 

13 - Jouets

Un vibro-masseur classique, évidemment, plusieurs godes des plus réalistes, dont un énorme muni d’une ventouse, un œuf vibrant télécommandé, un assortiment de plugs de taille progressive, un bijou anal métallique orné d’un joli cristal taillé de couleur rouge, bien sur des boules de geisha et enfin, un imposant gode ceinture qui a la particularité de disposer de deux membres, un pour la partenaire et un pour celle qui le porte.

Mon choix va à ce dernier objet dont je ne me suis jamais servie. Curieuse de nouvelles sensations, je fais pénétrer l’objet dans mon vagin, sans difficulté bien sûr, l’excitation et Christophe m’ayant dilatée à souhait. Je dispose et serre bien les sangles, j’ai une sensation étrange, d’une part je suis remplie par mon accessoire, d’autre part j’ai une impression de puissance voyant émerger de mon ventre ce membre nouveau.

Clara me regarde avec gourmandise. Je me dirige vers elle et l’empale avec la sensation de la posséder comme un homme. Immédiatement, je ressens l’action de la partie qui s’enfonce en moi et à voir les yeux de ma partenaire, je comprends que l’onde de plaisir qui parcours mon bas ventre est partagée. Jamais une telle communion de plaisir ne m’a été offerte, pour la première fois, j’ai en même plaisir que ma partenaire.

Cette sensation de maitriser à la fois mon plaisir et celui de mon amante est si nouvelle que j’en joue pour nous amener à l’unisson du plaisir, tantôt accélérant, tantôt ralentissant la cadence pour enfin nous unir dans un orgasme commun. L’avantage de cet accessoire est qu’il ne faiblit pas et seule notre propre fatigue nous arrête dans notre action après plusieurs orgasmes gémis à l’unisson.

Pendant ce temps, Elodie et Christophe ne sont pas restés inactifs, Chris allongé sur le tapis moelleux est chevauché par Elodie dans une cavalcade fougueuse. Pendant que Clara se dirige vers ses lèvres pour une longue série de profonds baisers, je m’intéresse à son petit orifice que je masse délicatement pour l’assouplir et que je pénètre avec douceur de mon appendice. Elle n’est pas vierge de ce côté et je suppose qu’elle doit supporter aisément la plus forte taille de sa collection de plugs car j’entre assez aisément dans ce passage généralement étroit. Je coordonne mes mouvements avec ceux de Chris et à nouveau, je me sens puissante, à son égal.

Prise de toutes parts, Elodie enchaine plusieurs orgasmes bruyants avant que Christophe n’arrive au summum de son plaisir.

 

 

 

 

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